Alors je vais être transparente dès le départ. Si tu n’es pas un professionnel en communication, tu ne vas pas utiliser cette technique.

Donc quel intérêt que je te bombarde encore une fois d’infos me diras-tu ?

Eh bien cela va te permettre de comprendre un peu plus le travail d’un graphiste, d’améliorer tes échanges avec ton graphiste (le travail est plus simple lorsque chaque interlocuteur a les bonnes informations), et puis tu te coucheras moins bête (et c’est pas du luxe) ^^

Déjà ce que tu dois savoir, c’est que les graphistes travaillent en format vectoriel, afin d’avoir un fichier qui ne se déforme ou pixellise lors de l’impression.

A la différence d’une image (.jpg), un fichier vectoriel (en .ai ou .eps) peut s’agrandir à l’infiniiiiiii et au delà !

Une image fixe  est composée de pixels non visibles à l’oeil nu mais lorsqu’on l’agrandit ils deviennent visibles.

Une image vectorielle  est composée de lignes reliées par des formules mathématiques afin d’assurer proportionnalité et coordonnées.

En plus du logo, on vectorise aussi les textes d’un support de communication. Cela permet tout simplement de le figer avant l’impression finale.

Réalisée lors du BAT (Bon à tirer), cette manip’ est irréversible, une fois le texte vectorisé on ne peut plus le modifier ! Donc le mot d’ordre est « sauvegarde de secours ». (ça fait 3 mots en fait).

On a fait le tour de ce thème, j’espère que cet article t’as plu 🙂

Faustine.